Les histoires sont présentées dans de gros livres en bois. Un câble fixé à des arbustes maintient le livre fermé. En ouvrant le livre on exerce une pression sur le câble qui se fait se pencher l'arbuste vers nous (comme s’il nous saluait). On va chercher l'histoire autant dans le livre que dans le lieu où il est attaché. Dans le cas de la fontaine, ouvrir le livre libère le jet d'eau.

Les histoires sont présentées dans de gros livres en bois. Un câble fixé à des arbustes maintient le livre fermé. En ouvrant le livre on exerce une pression sur le câble qui se fait se pencher l'arbuste vers nous (comme s’il nous saluait). On va chercher l'histoire autant dans le livre que dans le lieu où il est attaché. Dans le cas de la fontaine, ouvrir le livre libère le jet d'eau.

Les histoires sont présentées dans de gros livres en bois. Un câble fixé à des arbustes maintient le livre fermé. En ouvrant le livre on exerce une pression sur le câble qui se fait se pencher l'arbuste vers nous (comme s’il nous saluait). On va chercher l'histoire autant dans le livre que dans le lieu où il est attaché. Dans le cas de la fontaine, ouvrir le livre libère le jet d'eau.

À son arrivée sur l’île Milliau (en Bretagne), le visiteur reçoit un guide dont chacune des pages invitent à découvrir un point de vue particulier sur le paysage. À chacun de ces points de vue se trouve un petit promontoire qui représente exactement le même espace que la page (la page est en papier, le promontoire est en acier, la page porte le noir des lettres, le promontoire porte le noir des empreintes des chaussures des promeneurs).

À son arrivée sur l’île Milliau (en Bretagne), le visiteur reçoit un guide dont chacune des pages invitent à découvrir un point de vue particulier sur le paysage. À chacun de ces points de vue se trouve un petit promontoire qui représente exactement le même espace que la page (la page est en papier, le promontoire est en acier, la page porte le noir des lettres, le promontoire porte le noir des empreintes des chaussures des promeneurs).

À son arrivée sur l’île Milliau (en Bretagne), le visiteur reçoit un guide dont chacune des pages invitent à découvrir un point de vue particulier sur le paysage. À chacun de ces points de vue se trouve un petit promontoire qui représente exactement le même espace que la page (la page est en papier, le promontoire est en acier, la page porte le noir des lettres, le promontoire porte le noir des empreintes des chaussures des promeneurs).

À son arrivée sur l’île Milliau (en Bretagne), le visiteur reçoit un guide dont chacune des pages invitent à découvrir un point de vue particulier sur le paysage. À chacun de ces points de vue se trouve un petit promontoire qui représente exactement le même espace que la page (la page est en papier, le promontoire est en acier, la page porte le noir des lettres, le promontoire porte le noir des empreintes des chaussures des promeneurs).

Dans le cadre du lancement de Flower by Kenzo©, quatre cent mille coquelicots ont été déposé (sur un petit bloc de plastiline) dans les rues de Paris. On peut les cueillir. Enroulés autour de chacun d’eux, une histoire. Il y a trente histoires différentes. Les passants cherchent à avoir la collection complète des histoires. Pour ce faire, ils se lisent les histoires l’un l’autre, s’échangent celles qu’ils n’ont pas encore, se composent leur bouquet.

Dans le cadre du lancement de Flower by Kenzo©, quatre cent mille coquelicots ont été déposé (sur un petit bloc de plastiline) dans les rues de Paris. On peut les cueillir. Enroulés autour de chacun d’eux, une histoire. Il y a trente histoires différentes. Les passants cherchent à avoir la collection complète des histoires. Pour ce faire, ils se lisent les histoires l’un l’autre, s’échangent celles qu’ils n’ont pas encore, se composent leur bouquet.

Dans le cadre du lancement de Flower by Kenzo©, quatre cent mille coquelicots ont été déposé (sur un petit bloc de plastiline) dans les rues de Paris. On peut les cueillir. Enroulés autour de chacun d’eux, une histoire. Il y a trente histoires différentes. Les passants cherchent à avoir la collection complète des histoires. Pour ce faire, ils se lisent les histoires l’un l’autre, s’échangent celles qu’ils n’ont pas encore, se composent leur bouquet.

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